J'aime à imaginer ce que ce bateau de pêche a traversé comme immensité, sous des météos tempétueuses ou paradisiaques. Et ce que les hommes à bord ont pu admirer ou craindre au travers des mers amies ou ennemies. Quel labeur d’être marin, quelle fierté de naviguer sur ces bateaux, sur ces vaisseaux.
Pour les passionnés de la mer !Voici un tableau, sur la thématique du rêve. Pour cela, j’utilise le bleu et le vert émeraude rappelant le fleuve Amazone, lieu captivant où la futilité perd pied pour laisser place à l’évasion, à la Destinée.
Le vert, le bleu, pour mieux accompagner sa rêverie, son évasion !
J’y retranscris la quête du savoir, cette boulimie de vouloir apprendre de plus en plus de choses : mieux comprendre ce qui nous entoure pour acquérir la sagesse du jugement et non être poussée à juger dans la précipitation comme nous y force notre époque. Cette curiosité, cette soif de connaissance, les échanges inter-cultures : tout cela nous construit jour après jour. Dans une dominante bleue, j'utilise des couleurs vives, dynamiques pour retranscrire la beauté de tout ce qu'il nous reste encore à découvrir.
peinture à l'huile
dimensions : 46 cm x 65 cm
système d'accrochage inclus
Prix : 300 euros
Voici une baleine et son petit et, ce, sur 4 toiles distinctes. Les baleines sont des animaux magnifiques et à ces moments de rencontre magiques s'ajoutent leurs chants qui me fascinent : ce chant des Sirènes ! En réalisant ce tableau sur 4 pans, j'ai voulu donner une impression d’éclatement pour souligner que leur existence pouvait voler en éclat d'un moment à l'autre si notre posture ne changeait pas. Cet aspect est renforcé par le montage des quatre toiles sur une plaque transparente afin que l'ensemble semble suspendu dans l’air : je souligne ainsi l'aspect temporel où leur avenir est suspendu dans l’éther, attendant de savoir quelle décision nous prendrons sur leur droit d'exister.
C’est ma façon d’exprimer ce que je ressens face à cette autodestruction massive, entretenue par la priorité donnée à l’enrichissement personnel plutôt qu’à la raison collective. Nous nous sommes embringués sur une autoroute où tout va de plus en plus vite, sans aucun garde-fou à notre folie meurtrière, sans guère de maîtrise du destin. Annonce d’une destinée déjà écrire ou prophétie ?
Cette œuvre engagée intitulée « Planète ou la dérive des Continents » : Comment traduire cette dérive continuelle de notre monde ? La sécheresse qui s'installe (en jaune) et qui fait basculer les peuples dans les guerres, la famine (en rouge). Ces courants El Nino et le Gulf Stream pollués par les plastiques (en blanc) et qui traduisent aussi du dérèglement climatique.
Jusqu'à quand, jusqu'à quoi, comprendrons-nous enfin que notre existence, notre survie dépend de notre respect de l’environnement ? Cette vision apocalyptique d’un monde disloqué ne peut être notre avenir, réagissons enfin efficacement !!